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Wladimir Anselme - L'Esclandre
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El Comunero
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El Comunero
[AD2215C]
14,90€

Les Hurlements d’Léo (Laurent Kebous et Erwan Naour)
Noir Désir (Jean-Paul Roy et Denis Barthe)
L ’Air de Rien (Thomas Jimenez )
17 Hippies (Kiki)
Anakronic Electro Orkestra (Pierre Bertaud du Chazaud)
Elektric Geisha (Max Richard)
La Varda, Les Croquants (Manu Moynot et Franck Marty)


Tous font revivre les chants de lutte de la République Espagnole



« Pour résister à l'oubli, les musiciens d’El Comunero ont choisi un terrain poétique, en revisitant des chants républicains qui ont fait retentir dans la bourse du travail, archicomble leur volonté de puiser dans le vivier le courage de changer le monde d'aujourd'hui. »
L’Humanité

« Un groupe qui (ré)interprète, dans les sonorités, les tempos, les rythmes actuels, le répertoire républicain espagnol. Ces chansons de lutte sont le plus souvent calquées sur d'anciennes mélodies populaires, du XIXe et du début du XXe siècle. "El Comunero" "rockise" ce répertoire emblématique, symbolique, voire mythique, sans le trahir, ni le frelater; il reste fidèle aux fondamentaux, au contenu historique, et les projette dans l'univers et les luttes d'aujourd'hui. Le résultat, tonique, qui féconde et fertilise, fédère, est d'une qualité qui mûrit à chaque concert.. Les musiciens qui accompagnent Thomas , sont des anciens de "Noir Désir", "L'Air de rien", "Les Hurlements d' Léo", "La Varda", etc. Chacun apporte sa couleur, son cachet, à la clarinette, au violon, à la contrebasse, au "cajón", à l'accordéon... Ces artistes ne sont pas là au seul service du chanteur, mais fusionnent dans une création pêchue, étonnante d'actualité, et en devenir. »
Jean Ortiz

Les dictatures triomphent lorsqu’elles cassent la transmission de la mémoire des luttes entre les générations. Franco, pour l’Espagne, a failli y parvenir, heureusement, des petits enfants proches des « abuelos » , titillent leur mémoire…
La quête de Thomas, à la recherche des faits et gestes de son grand-père andalou et de ses compagnons de lutte participe de cette résistance à l’oubli. Et cela, non dans un but passéiste, mais avec la volonté de puiser dans ce vivier, le courage de changer le monde d’aujourd’hui.
El Comunero, surnom que ces amis anarchistes ont donné à ce militant communiste, en dit long sur la tradition séculaire de combat des paysans des terres d’Espagne. Le parler andalou de l’aïeul résonne entre les chants de la Guerre et révolution d’Espagne, arrangés musicalement par le savoir faire et la passion de su « nieto ». Que la tierra te sea leve, comunero !
Progreso Marin

JE NE SUIS PAS ESPAGNOL.


Je ne suis pas espagnol mais des gouttes de sang andalou coulent dans mes veines puisque c’est en Andalousie que vivait et qu’aurait du vivre mon grand-père Manolo et c’est là qu’aurait grandi ma grand-mère (à Grenade) si la guerre d’Espagne n’avait éclaté.
Pour défendre la république, mi abuelito s’engagea à 18 ans aux côtés de CNT’istes. Seul communiste de son régiment, il hérita du surnom gentiment moqueur de « comunero » (« le coco », « le communard »).
Il vécût donc la guerre dans toutes ses atrocités, connut l’espoir, la solidarité, la peur, l’odeur de la mort, la défaite, puis l’exil et l’humiliation du camp d’Argelès où ces hommes et femmes qui s’étaient levés pour faire vivre des idéaux de liberté, d’égalité, de fraternité, furent traités inhumainement par la police et les autorités de notre pays, qui s’honore pourtant de cette devise. Mais même humilié il resta debout, s’évada et rejoint la résistance pour poursuivre le combat contre le fascisme. Mon grand-père parlait peu de ses engagements, seulement par bribes et avec beaucoup de pudeur et d’humilité. Par bonheur, je fus un de ceux auxquels il se confia et ses « histoires » me fascinaient. J’ai pu ainsi l’enregistrer et c’est sa voix que l’on peut entendre tout au long de l’album. Au travers de son histoire mais aussi des chants de la guerre que nous chantions dans les repas de famille je me suis construit sensiblement et politiquement.
A sa mort il m’est apparu essentiel pour moi d‘immortaliser ces chansons venant pour la plupart de lui et qui m’ont fait moi. Le groupe, le titre de l’album et l’unique composition de l’album s’appellent « El Comunero » pour lui rendre hommage et le remercier. Au travers lui, c’est à tous ces guérilleros, combattants pour la liberté, que nous voulons rendre hommage et dont nous voulons perpétuer la mémoire. Ils sont le symbole extraordinaire d’hommes et de femmes levés pour une société plus juste, plus humaine et plus fraternelle. Beaucoup sont morts pour cet idéal, certains diront cette utopie mais est-ce utopiste que de vouloir vivre mieux et debout ?
D’autres chansons n’ont pas de lien direct avec l’histoire de la guerre d’Espagne mais font parties de mes souvenirs, mes racines, mon histoire…

Thomas Jimenez


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