« Une musique en apesanteur, suspendue en terre mandingue. »
Anne Berthod, Télérama
« Une musique unique et délicate, des images à voir les yeux ouverts ou fermé. » Didier Varrod, France Inter

Après le succès en 2012 d’Amanké Dionti, son duo avec le trompettiste Volker Goetze (plus de 7000 exemplaires vendus en France) et après de nombreuses collaborations et expériences musicales qui l’ont amené sur les chemins des musiques jazz (avec François Jeanneau, Simon Goubert, Emmanuel Bex …), baroques (avec l’Ensemble La Chimera, « Odesea Negrea ») ou persanes (ensemble Constantinople)... Ablaye Cissoko nous offre cet automne un nouvel album personnel : Mes Racines.
Un album qui explore différentes facettes de la musique Sénégalaise, qu’elle soit traditionnelle ou revisitée, et dans lequel on retrouve l’expressivité, la virtuosité et la voix magnifique d’Ablaye Cissoko. Il s’est entouré pour se faire de son ensemble Le Corda Ba, composé exclusivement de musiciens vivant au Sénégal.

« Une voix envoûtante et un doigté sophistiqué pour un dialogue musical comme un remède précis et précieux en ces temps d’incompréhension. »
Mondomix

« Un griot porteur de sagesse (...), héritier d'une tradition mandingue évolutive, (...) fier de représenter le passé et heureux de vivre son époque. »
Francis Dordor, Les InRocks

Kimintang Mahamadou Cissoko est né en 1970 à Kolda en Haute-Casamance. Il est le descendant d'une lignée de griots et fait l'apprentissage de la kora à partir de ses huit ans. En 1985, Ablaye Cissoko s'installe à Saint-Louis du Sénégal et intègre le Saint-Louis Jazz Orchestra composé de musiciens africains et européens.
Ablaye Cissoko attend 2003 pour enregistrer ses propres compositions avec Diam. Ablaye Cissoko s'empare ensuite d'une légende ouest-africaine du XIIème siècle, celle de Kimintang le Griot rouge. Les albums Diam (2003), puis Le Griot Rouge (2005), permettent à Ablaye Cissoko de se faire un nom reconnu internationalement. On le verra dans la foulée aux côtés d’Omar Pene ou des jazzmen François Jeanneau, Emmanuel Bex, François Verly...
De sa rencontre avec le trompettiste allemand établi à New York Volker Goetze naît en 2009 l'album Sira. Les deux hommes y confrontent modernité et tradition, jazz et musique africaine, dans un album d'une grande pureté. Ablaye Cissoko, dont le but au-delà de la musique est « d'apaiser le cœur des hommes », se nourrit en 2011 d'une nouvelle rencontre avec le multi-instrumentiste marocain Majid Bekkas. Cette fois, c'est sans surprise une rencontre toujours bienvenue entre jazz, musique arabe orientale et musique africaine qui a lieu avec Mabrouk.
Ablaye Cissoko retrouve Volker Goetze en 2012 pour Amanké Dionti, deuxième disque en commun, qui met l'accent sur la rencontre entre univers urbains et espaces africains, dont la sortie est rendu possible grâce au soutien de la fondation BNP Paribas, qui accompagne désormais Ablaye Cissoko dans sa carrière. La même année sort African Jazz Roots, magnifique et inédite fusion entre les compositions jazz occidentales du batteur et claviériste Simon Goubert et la musique traditionnelle sénégalaise.

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