L’album de la consécration !
Un accordéon ronflant, un tuba enflé d'effluves balkaniques, un chanteur à la voix imparable et chaude, un univers rythmé, festif et varié donnent à ce groupe une identité forte et terriblement attachante.
Les Gens, c'est huit musiciens offrant un joyeux métissage de styles, à la fois touchant, viscéral et vivifiant !
Avec un clin d’oeil à Boris Vian, cet album d’une maturité déconcertante nous dévoile avec force et vérité les états d’âme d’un groupe unique.
Après un premier album prometteur en 2004, Les Gens nous reviennent avec un nouvel opus saisissant Pourvu qu'il me laisse le temps. Aux confluents du rock, de la chanson et des musiques traditionnelles, ce sont 12 nouveaux morceaux en forme de réflexion sur la vie qui nous parlent du temps de vivre et de mourir, abordent des sujets, parfois graves, avec pudeur et poésie, douleur et tendresse.
L'accordéon se veut désormais chromatique, la guitare parfois s'électrifie, la batterie tape du poing sur la table, aux tubas, trompette, sax, flûte et contrebasse, viennent désormais s'ajouter l'harmonium d'église, le bouzouki, la clarinette, le trombone, le piano…
Chaque morceau campe un décor nouveau, tantôt rapide et déjanté, tantôt sombre et intimiste, triste ou enjoué, chanté ou non, témoignage imagé ou fable onirique… un condensé d'inventivité, tant dans les arrangements que dans les sonorités de cette musique pour les mariages et pour les enterrements.
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