Le plus grand succès de librairie de Philippe Bouvard romancier,
lu par lui-même en 6 CD ! Livret de 8 pages Texte intégral lu par Philippe Bouvard.
A 50 ans, publicitaire reconnu, Walter Ego décide de tout abandonner, famille,
métier, amis, maison… Une vie confortable, enviable même, mais qui ne
l’intéresse plus. Il rêve de recommencer et d’être libre. Mais les règles de la
société, si mensongères et truquées soient-elles, ne se laissent pas enfreindre
sans contrepartie. Walter Ego paiera sa décision du prix de la solitude, d’un
dénuement croissant, d’une véritable dégringolade au fond du gouffre social… En
lisant son propre roman, en incarnant à la perfection le personnage de Walter
Ego, Philippe Bouvard nous dévoile son talent d’écrivain et de conteur, avec sa
voix si familière qui figure dans notre mémoire collective.
Patrick Frémeaux
Distinction
: RECOMMANDÉ PAR FRANCE 2
« Philippe Bouvard a lu devant un micro le texte de
l’un de ses romans, Un
homme libre. Dans ce récit, il raconte le destin d’un publicitaire
reconnu, Walter Ego, qui, un matin, décide de tout abandonner. L’ensemble
superbement incarné par l'auteur a été réuni dans un coffret de six CD. »
LE FIGARO
Inclus dans ce coffret : CD 1
1 Je m’appelle Ego 04:41
2 Au dessert Jean Dragon avait évoqué notre enfance 03:50
3 Personne ne faisait déjà plus attention à moi 04:50
4 Ce qui m’ennuie le plus dans cette rupture 04:10
5 Je pars elle reste 04:37
6 J’ai épousé Arlette presque en même temps… 03:31
7 Quand je l’ai épousé nos dix ans de différence… 02:30
8 Au fond Arlette est équilibrée 03:15
9 Arlette est dans sa chambre 02:58
10 A l’autre bout du fil elle feignait d’être débordée 02:25
11 Je ne devais pas avoir ma tête de tous les jours 02:53
12 J’ai tout expliqué à Arlette 03:21
13 Si je trouve une situation pas de problème 03:30
14 Ma lassitude vient en grande partie de cette
constatation 04:59
15 Les membres présents de la tribu 03:07
16 Tu devrais emporter quelques bouquins 03:12
17 Depuis
trente ans je vis à l’inverse de mes goûts 03:37
18 Pour un type en train de tirer un trait sur son
passé 04:06
19 Je n’ai pas répondu à la question d’Arlette 04:17
20 Mes bagages sont prêts 05:11
21 L’hôtel de Macon est triste mais propre 03:36
CD 2
1 Sur le
chapitre de cette mort annoncée 03:10
2 Demain je
devrai me préoccuper de faire laver
03:23
3 Autour de moi une douzaine d’hommes muets 03:57
4 Machinalement j’attire Miss Zombie contre un pilier 04:44
5 A l’hôtel de Macon les chiffres n’ont pas la même
signification 04:34
6 Ma solitude est totale 03:26
7 J’observe les voyageurs huppés 04:40
8 Je résiste à l’envie de lui demander 03:14
9 A côté de la chambre de Bogart la mienne semble plus
propre 02:49
10 Vient ensuite Gina 03:45
11 Ce n’est que dix ans plus tard 04:25
12 Beau temps dans le ciel beau temps dans mon cœur 04:31
13 Au libre-service qui jouxte l’hôtel 03:54
14 Chez l’auvergnat tout à l’heure 03:51
15 Jules s’est endormi sur la carpette élimée 04:07
16 Pour procéder tranquillement à quelques ablutions 03:20
17 Nous sommes le vingt juin 03:36
18 Dans une cabine de la poste j’ai appelé chez moi 03:06
19 Nous voilà
parti moi en état de mort sociale 02:31
20 Monsieur Paul ne conduit pas à tombeau ouvert 02:44
21 Pendant le diner j’ai eu l’étrange sensation 04:38
CD 3
1 La cloche du cimetière m’a tiré de cette délectation 04:07
2 Passe les hôtels particuliers de la Grande Rue Haute 03:38
3 Devant moi marche une demoiselle 03:11
4 Je presse le
pas pour ne pas la perdre 03:33
5 Une idée me traverse 02:16
6 72 heures que je me suis installé chez Laurence 02:52
7 Depuis trois jours que je me suis glissé par hasard... 03:31
8 Ce matin au terme du petit déjeuner... 03:31
9 Cet aveu m’aide a comprendre que mon charme… 03:06
10 Monsieur Paul était devant le cimetière 02:52
11 Je n’ai jamais pris comme un dû ma lente accession 04:44
12 Les choses sont rentrées dans l’ordre parisien 04:10
13 Conscient de la précarité matérielle de ma situation 04:11
14 Sa vocation de plus en plus exigeante 03:13
15 A l’issue d un méchoui offert au bar de l’hôtel... 03:40
16 La vraie vie selon Ahmed se poursuit doucement... 04:06
17 Les légumes et les fruits sont partout de la même
qualité... 04:04
18 Brusquement sans aucun signe annonciateur... 04:19
19 J ai reconnu tout de suite sur l’enveloppe... 04:29
20 Pour cause de vacances estivales... 03:39
21 Il se confirme que la vertu est récompensée... 03:44
CD 4
1 Ahmed qui m’a vu sortir à 17 heures chômeur et désespéré 03:08
2 Marre des veuves inconsolables qui pleurent dans mon gilet
04:07
3 Place Clichy je tombe nez à nez avec Jean Dragon 03:32
4 En même temps que je découvrais l’aspect olfactif 02:22
5 Paris est moite 02:51
6 La nature qui a horreur du vide ferait bien de… 03:29
7 Il a mis fin à notre conversation… 03:43
8 Pour me remonter le moral j’ai été boire un café 03:50
9 L’hôtel Montaigne est plus petit plus sombre et plus
triste 03:04
10 Roméo pense peu et ne parle pas 03:35
11 Mon éducation ma conversation doivent… 03:50
12 L’ascenseur qui doit avoir l’âge de « Madame De »
04:52
13 La première expédition aura lieu ce soir 03:42
14 Cap sur l’avenue Mozart 04:23
15 Tandis que Gino me donne rendez-vous pour le soir 04:49
16 A propos je ne compte plus les boîtes de l’Aviron 03:56
17 L’acheteur fait autorité dans le milieu 03:11
18 J’occupe mes après-midi à humer l’air de Paris 02:23
19 Gino a été arrêté à l’aube 02:14
20 Roméo qui a ses entrées au commissariat 03:05
21 Un carillon suisse annonce chaque quart d’heure 04:54
CD 5
1 La nuit dernière un couple de provinciaux harassés 04:10
2 Roméo m’a royalement gratifié de deux jours de congés 03:25
3 J’observe la vie de mon quartier 02:51
4 Derrière la chambre je devine la salle 02:12
5 Avec son portrait de Gus Perrot 02:39
6 Le naturel chassé par les petits chefs 04:03
7 La vue de Guedon 02:23
8 Roméo s’est montre très gentil 02:26
9 Pour parer au plus pressé 02:36
10 Roméo est sorti à l’heure où il savait… 02:14
11 Tout a commencé devant la petite armoire métallique 03:26
12 L’éveil progressif du dortoir me conforte dans l’idée… 03:56
13 Maya qui me fait les yeux doux voudrait s’occuper 02:33
14 Direction commissariat 02:55
15 Comme dans toute communauté… 03:30
16 Les Desmarchelier n’ont pas de passé ni d’avenir 03:41
17 Desmarchelier quand il a un petit verre dans le nez 04:04
18 J’ai fait ma toilette et je suis allé me promener 02:58
19 A M. Desmarchelier qui m’a offert le café 02:20
20 Je me suis
trouvé un compère 02:59
21 Pas de stock pas d’inventaire pas de taxe 03:30
CD 6
1 Voila trois heures que nous sommes à table 02:56
2 A six heures on nous extrait pour nous conduire 02:45
3 Et moi qui voulait t’inviter 04:02
4 Simon qui nous a écouté jusque là en silence 03:43
5 Pourvu que je ne rencontre aucune ancienne relation 03:27
6 Un bon mendiant est quelqu’un… 02:01
7 Dimanche petit-déjeuner 03:21
8 Claudius qui salue familièrement 04:03
9 Il est près de minuit 04:57
10 A la sortie de Saint-Honoré d’Eyleau 03:56
11 Trois jours de pluie ont stoppé net ma carrière 03:37
12 Nous sommes partis du refuge clandestinement 02:15
13 Urbain n’est pas le mot qui vient à l’esprit 02:43
14 Je songe à Gus Perrot 03:22
15 Au moment où je vais enfin sombrer dans le sommeil 03:47
16 Une idée une seule mais paralysante 03:20
17 A partir de la ma réinstallation dans le monde 03:33
18 L’aube redessine les contours de la Seine 04:07
19 Sur le quai la vie est normale 03:27
20 Me voici devant la porte 03:36
21 Je fuis sans même remercier ni dire au revoir 04:06
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