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Jacques Prévert & Frédéric Nevchehirlian - Le soleil brille pour tout le monde ?
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Jacques Prévert & Frédéric Nevchehirlian - Le soleil brille pour tout le monde ?
[AD1955C]
14,50€

PRÉVERT L’INSOUMIS, TEXTES RARES ET INÉDITS
MUSIQUES DE FRÉDÉRIC NEVCHEHIRLIAN



Tant d’années après sa mort, un pan de l’oeuvre de Jacques Prévert, peut-être le plus fort, reste Méconnu du grand public. C’est le Prévert insoumis, révolté.
A l’occasion du documentaire « Jacques Prévert, Paroles d’un insoumis », réalisé par C. Clavel pour France 5, Nevchehirlian met en musique « Tentative de description d’un dîner de tête à Paris-France ».
C’est une révélation. La langue de Prévert trouve dans la voix de Frédéric un écho et une modernité insoupçonnés. Eugénie Bachelot-Prévert, petite fille du poète, ne s’y trompe pas, convaincue par l’interprétation et la mise en musique de Nevchehirlian, elle lui propose de poursuivre le travail en lui ouvrant le catalogue des textes qui n’avaient pas fait l’objet d’une orchestration, dont certains inédits.

UN PRÉVERT INTIME ET ENGAGÉ, INSOUMIS ET AMOUREUX, DES CHANSONS ENTRE ROCK ET SLAM, À L’ACTUALITÉ CRIANTE.



"Loin des expérimentations égoïstes, Nevchehirlian ouvre à tous les portes d'un univers onirique en remettant au goût du jour Jacques Prévert le rebelle."
Patrice Bardot, SERGE août/septembre 2011


Frédéric Nevchehirlian : la bio…



Un nom.
NEV-CHE-HIR-LIAN. D’origine arménienne, il est si compliqué que Frédéric Nevchehirlian a décidé de l’utiliser comme une bannière. Son nouveau groupe s’appelle comme lui et, sur son Myspace, une petite vidéo hilarante explique comment bien le prononcer.

Une gueule.
Faux air du jeune Aznavour, le contact facile, fin et drôle, l’homme n’a rien du poète maudit que la rage de ses écrits laisse imaginer. À 36 ans, l’artiste marseillais maîtrise son discours, ses prestations et fait l’unanimité dans des milieux très différents. «Je suis capable de déclamer avec autant de sincérité dans un bar de quartier qu’au Centre Pompidou», aime-t-il dire... Forfanterie? Non, puisqu’il le fait !

Des mots.
Fred Nevchehirlian griffonne «depuis toujours» mais «seulement quand il en a le temps». Autodidacte échappé d’une formation professionnelle pour gagner la fac de lettres sur le tard, il a commencé à captiver par ses prises de paroles incandescentes dans des soirées «micro ouvert» à l’aube du slam français. Puis dans les concerts de Vibrion (découverte Printemps de Bourges 2005, FAIR 2008), son groupe d’origine. Poésie pressée, sortant en rafales nerveuses, enchaînant les images qui claquent. Ecriture heurtée, psychédélique et joueuse.

Des scènes.
En 2008, son agenda comptait 110 concerts, seul ou dans diverses formules. L’été 2009, il fut deux fois au Festival de Marseille pour “J’ai des milliers de gestes”, création autour de la musique répétitive avec la pianiste Nathalie Negro, puis dans l’expérience musicale franco-libanaise “Mix Up Beyrouth”, initiée par le festival Marsatac, en compagnie de Rodolphe Burger.

Du rock.
« Après les expériences slam de Vibrion, je voulais autre chose. Le rock, c’est ma source. Le disque est venu comme un concours de circonstances. » L’enregistrement de morceaux écrits en 2007 avec le guitariste de Noir Désir Serge Teyssot-Gay, a entraîné des compositions où Fred ose désormais chanter. Sur Monde nouveau monde ancien, premier album du groupe Nevchehirlian, sorti mi mai, onze titres rock, spontanés et brutaux, et une exception pop : l’excellente comptine Les Filles les garçons.

Des ami(e)s.
Le livret de l’album en dit long sur la capacité de Fred N. à attirer collaborations et amitiés. Pourquoi ? «Bon Dieu, je ne m’étais jamais posé la question», lâche-t-il, surpris. Autour de lui, on trouve donc Serge Teyssot-Gay, le saxophoniste Akosh S., l’ingénieur du son Jean Lamoot ou Marcel Kanche, parolier à succès, qui lui a offert L’Homme troué, chanson écrite à l’origine pour M.

Une identité.
Né à Marseille, de mère espagnole et de père arménien, Frédéric Nevchehirlian n’échappe pas au poids des héritages, ni, comme il dit, «à la quête d’un vrai chez-soi». «Je n’ai pas tout de suite compris de quoi mes obsessions étaient faites», reconnaît-il. «Mon parcours artistique n’est au service d’aucune cause, mais c’est vrai qu’aujourd’hui je commence à comprendre et à assumer certaines choses... Évidemment, dans tout cela, il y a une dimension cathartique.»

Gilles Rof (pour Télérama n°3098-27 mai 2009)

" Elles ont été terribles ces années 30. Désormais entrées dans l'Histoire, elles laissent encore un goût de cendres dans la bouche de ceux qui les revisitent.
Jacques Prévert n'est pas un idéologue, encore moins un propagandiste. Il aime la langue, il se méfie des grandes idées, il dit volontiers : « Le mot est plus fort que l'idée. » Mais à sa manière, il était entre 1925 et 1930, de toutes les manifestations publiques et de toutes les interventions provocatrices des surréalistes. C'est certainement pour cette raison, qu'en 1932, des comédiens sont venus lui demander des textes pour leur jeune troupe. Sans lâcher ses travaux cinématographiques, de 1932 à 1936, il a abondamment nourri le répertoire de cette « belle équipe » dénommée Groupe Octobre, signant au jour le jour des pièces, des sketches, des saynètes, des intermèdes, des choeurs parlés, des poèmes, des chansons qui seront interprètes dans les rues, les usines en grêve...
Tout au long des années 30, Jacques Prévert a ainsi écrit à chaud sur tous les événements d'une époque terrible : crise économique, crise sociale, chômage, misère, guerres, invasions, dictatures. Face à « toutes ces coûteuses, ces ruineuses saloperies », il n'a eu de cesse de choisir le camp de « ceux qui attendent que ça change et qui en ont assez ». Il a obstinément appelé à la vigilance et chanté « la fleur rouge de la liberté ». "

Jean-Paul Liégeois, dans « L'Avénement d'Hitler » recueil de textes de Jacques Prévert


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